Graffiti Art numéro 29

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Au menu de ce numéro printanier nous vous bon concocté un dossier sur les artivistes et sur la relation entre l’engagement et l’institutionnalisation de l’art, avec Ernest Pignon-ErnestBluEscifC215 et Luzinterruptus.

Le londonien D*Face, l’artiste de notre couverture, retrace dans une interview l’évolution de sa démarche artistique ; de son rêve d’enfant – rêve d’Amérique et de graffiti – à la réflexion qu’il mène aujourd’hui autour de la pop culture. Kim Jung Gi, génie du dessin devenu « performer graphique », raconte son histoire et son travail.

Plongez sans hésitez dans l’imaginaire d’Agostino Iacurci, l’italien qui appréhende le muralisme comme un acte poétique. On découvre ensuite un portrait de l’artiste touche-à-tout mexicain Smithe qui continue de déconstruire notre réalité avec ses compositions fragmentées.

Une troisième interview avec le français Thomas Canto nous invite dans son univers en trois dimensions où volume, abstraction et lumière s’entremêlent. Enfin, on se perd dans les mille et une rayures et formes géométriques de Daniel Buren, alors que le Bozar de Bruxelles lui consacre une rétrospective.

Tandis que la galerie de Steve Lazarides fête ses dix ans d’existence, nous avons enquêté sur l’investissement à sept chiffres qu’il a récemment reçu d’un businessman qatari et sur le nouveau départ que cela représente pour cette galerie anglaise. Nous revenons également sur l’événement ayant marqué le mois de mars : Blu repeignant vingt ans de travail à Bologne, s’opposant ainsi à l’exposition Street Art Banksy & Co qui a elle seule suffisait déjà à soulever la question de la conservation des œuvres urbaines.On découvre aussi l’atelier de Hopare, à proximité de Paris et nous vous faisons part de nos visites des expositions de Cleon Peterson à Hong Kong, Mode2 à Milan, Boris Tellegen à Bruxelles et du group show « Rough Cast » à la Colab Gallery.

Pour finir, notre agenda des expositions de galeries et de musées vous permettra de ne manquer aucun événement d’ici l’été!