Graffiti Art numéro 39

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Dans cette nouvelle édition de GRAFFITIART, nous parvenons enfin à établir une ligne historique du mouvement de l’art urbain.

 

En effet, nous avions comme un manque à vous raconter tous nos artistes sans être capables de les replacer dans une sorte de continuité, d’évolution, de transformation. Les trois mouvements sont finalement réunis dans ce numéro.

 

Nous racontons le passé avec une plongée dans l’univers de Rammellzee, artiste total, chaînon décisif entre le hip-hop, le graffiti et l’art primitif. Vhils et Faile incarnent avec brillance le présent du mouvement à la confluence du pop, d’une figuration expressionniste et de l’art contemporain pur et dur.

 

Et notre dossier consacré à l’éclosion des fondations d’art urbain illustre bien le futur « muséal » qui attend nos créateurs. Ce qui rend optimiste, c’est que la combinaison des trois temps ne fait que renforcer la cohérence de la démarche urbaine.

 

Et puis, il y a l’espace. Difficile de bouder son plaisir, alors que nous parcourons les époques et les lieux avec une aisance un peu magique. De l’Écosse du festival Nuart, au Crystal Ship belge en passant par la nouvelle résidence du Couvent à Marseille, et puis, et puis… New York City, Los Angeles et l’Amérique du Sud explorée en tous sens par Remed et son art aux influences chamaniques. Urbi et orbi.

Béni soit l’art urbain.​